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| Sujet: Re: Pour avoir un poste vacant Sam 28 Juin - 16:11 | |
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| Sujet: Re: Pour avoir un poste vacant Dim 29 Juin - 12:13 | |
| Bonjour !!! Pour ma part j'en suis désolé mais ton niveau est un peu trop juste pour jouer un personnage important tel que Harry ... Je pense qu'il sera plus judicieux pour toi de jouer un personnage inventé. Si tu souhaite changer de Pseudo n'hésite pas à m'envoyé un MP |
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| Sujet: Re: Pour avoir un poste vacant Dim 29 Juin - 12:19 | |
| Hum hum! Désolé de venir réinsister, mais j'ai envie de reposer ma candidature pour le personnage de Harry Potter, que j'incarne déjà sur un forum ( d'ou mon envie de me représenter!), et en changeant mes rp, car ceux que j'ai montrés precedemment sont vraiments minables...
Rôle demandé => Harry Potter Emplacement => (Autre, Ordre, Mangemort, Serpentard...) Réformateur Lien vers 2 de vos Rps pseudo dans ce dernier => Je suis Maxime John Je suis Harry Potter
Vous engagez vous à respecter les commandements? => Je m'y engage
Je m'excuse d'insistrer, si cela ne vous plait pas, et que je susi refusé, vous pouvez supprimer mon compte . |
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| Sujet: Demande de rôle vacant. - Victoire Weasley. Lun 14 Juil - 22:16 | |
| Rôle demandé => Victoire Weasley Emplacement => (Autre, Ordre, Mangemort, Serpentard...) Je l'avais imaginé avec une personnalité, assez compliquée, alors j'aimerais laisser le choixpeau - maintenant diamant - décider. Lien vers 2 de vos Rps pseudo dans ce dernier => Ne retrouvant pas mes liens de rp, j'ai plutôt mis trois extraits d'une même histoire que j'écris à mes heures perdues. Par contre, je tiens à spécifier que mes personnages ne sont pas toujours aussi.. sombres! - Spoiler:
Infimes singes humains sommeillant encore en ma personne, cynisme ainsi que sarcasmes n’auraient point eu la suffisance de s’éteindre lors de mon évolution. Nécessaire puisque chacun doit franchir le stade de la larve humaine. Pour se faire, une étape s’imposera alors. Intarissable; obligatoire. Vous devrez mourir, et ce, dans tout les sens du terme.
Se rassurer à l’aide de canulars fondés sur d’innombrables hallucinations ou curieux songes est inutile. Victimes et créateurs ne s’y connaissent en rien. En fait, l’assumant sans que mon amertume à ce fait ne s’en voit diminuée, tout descend encore de cette race qui fut jadis mienne. Vouloir faire son intéressant se doit d’être une autre de ces particularités infestes faisant leur quotidien. Quotidien peuplé d’habitudes éclaboussant sagement de perles rougeâtres les pages de l’histoire, alors que leurs ténébreuses âmes les tournent de funèbre manière, dernier hommage aux morts se succédant au fil de leur existence. Et de la mienne.
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Qu’elle qu’en soit le motif, l’auberge ou j’allais loger semblait appartenir au lot des déchets d’une poubelle de commerçants et non comme me l’avait décrit les passants. Peut-être qu’un pain et un lit étaient pour ceux-ci le sens même de la vie. mais pour moi, cet endroit avait tout du dégoûtant de la ville. Sgremnaria, ou l’art de regrouper le plus de pauvres dans une seule contrée. Les mendiants et lépreux pullulaient sur trottoirs et bancs, révulsant les touristes obligés à s’y asseoir. Quant au taux d’orphelins, de morts à la source inconnue et de suicides, comparez-le à n’importe qu’elle autre immondice de rassemblement de gens et il s’en retrouvera gagnant. Rares paraissaient les briques sur les murs déconfis, divers autres matériaux y avaient trouvé réconfort. Mais si quiconque connaissant un minimum la ville saurait qu’en ce territoire plane et lisse se trouvait une unique montagne, seuls ses occupants savaient que le profil des habitants de l’exception était différent du leur. Ces frontières, aberrantes, fragmentaient une unique réalité en deux milieux paradoxaux. Puisqu’en ce lieu se trouvaient un échantillon de personnes ne pouvant se vanter d’être les rescapés d’une ville de misère. Que des escrocs, des profiteurs qui ne s’étaient point gêné pour s’enrichir sur le dos de villageois déjà démolis par la maladie et la pauvreté. Aucune importance non? Après tout, tant qu’ils restaient en état de travailler, ils avaient une utilité. La voilà, la source d’orgueil des dictateurs secrets d’une ville à sec; une inépuisable chute de revenus expansifs par un monde trop pauvre d’esprit pour s’en défendre, et ce, pour des crétins éduqués.
Quant à moi, disons que j’étais la visiteuse - née de ce massacre perpétuel -, entrant dans la fierté non dissimulée de la ville; seul bâtiment à encore tenir debout avec plus ou moins de facilité. En courtoisie, la porte s’ouvrit avec fracas pour me laisser entrer et les voix, enflammées ou chuchotées se turent.
Chevelure de soie noire, teint fantomatique, iris d’une sombre inquiétude; tout mon être hurlait ma descendance pour le moins, tragédienne et démoniaque. Mes traits fins en permanence confondus en une singulière moue moqueuse closent ce tableau satanique que je me dévoile être. Une beauté morbide. Inhumaine. Mais qu’est-ce vraiment que l’inhumanité? Est-ce le fait de faire couler le sang d’un homme ou alors de le laisser connaître son trépas lui-même? Ce, suite à une existence lente et lourde de doutes, de malheurs et de craintes. Suivant cette pensée, je m’estime effroyablement humaine; en tant que poignard ensanglanté évitant aux Hommes la souffrance, unique chose qu’apporte la vie, en leur donnant la mort; éternel repos. Aurora est mon prénom. Mais qu’est-ce vraiment qu’un prénom? Qu’une infeste destinée prédite à un nouveau-né avant même de l’apercevoir. Nuit. Traduction horripilante de ce qu’on cru que je deviendrais.
Cocasse à insinuer, mais, pour une fois, on ne s’est point leurré.
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Jaillissant de ma plaie béante, du sang. S’y mêlaient des fragments d’âme, âme que je ne croyais plus posséder. Malheureuse ignorance, qu’elle me fait dorénavant payer. Et ce, par une peur que je n’aurais cru possible sans l’avoir aperçue dans les yeux de mes victimes. Je pouvais mourir; j’allais mourir..! La mort en elle-même, la douleur peut-être, ne m’effrayait pas. Dire la même chose de ce qui venait ensuite aurait été mensonge. L’arrêt de mes fonctions vitales, de ma vie; impensable. Je n’avais jamais envisagé de fin. Jamais. Secouée de tremblements, la panique m’enlaça sournoisement. Complices d’innombrables meurtres, cette vieille amie et moi s’affrontaient désormais dans un silence entrecoupé de sanglots. Les miens. Lui céder m’était moralement impossible. J’inspirai une bouffée d’air, nerveuse, mais c’est de souffre que je m’étouffa. D’ailleurs, on du m’entendre puisque des pas résonnèrent bientôt, suivant la cadence de ma respiration saccadée. Ils prirent d’assaut ma tête. Ce n’était pas la première fois! Constatais-je en laissant peu à peu place à ma copine, envahissante.
Prenant mon unique jambe intacte à mon cou, je me lançai dans une tentative désespérée – idiote par la suite - ; m’enfuir. Peut-être le Destin n’en avait simplement pas fini de me pourrir la vie. Ou voulait-il me prouver que cette folle course contre moi-même était perdue d’avance. Soit, mon pied se pris dans un gravis de mur et y resta, m’entraînant dans sa chute, moi qui n’avait jamais trébuché dans cette vie. Mes vêtements de neige ne pouvant plus se qualifier d’immaculés, je maudis férocement l’incendie qui avait peuplé le sol de choses que je vous ne nommerai pas, pour votre bien personnel - et digestif. Alors que je peinais à me relever, une main se posa sur mon épaule et je m’en dégageai, furieuse.
- Pleure maintenant.. Chantonna une voix que je connaissais trop bien.
Odeur affluant à ses narines, la petite, vive, courait jusqu’aux cuisines, bousculant au passage les clients, qui la réprimandaient sans attendre. Elle se contentait de leur tirer sauvagement la langue puis de poursuivre son chemin, excitée comme une puce. « Maman fait des tartes..! » Se réjouissait-elle.
Puis les spectateurs osèrent lever un rideau noir sur ma vie, me noyant dans mes souvenirs et m’interdisant l’avenir.
Elle zigzagua encore un moment entre les bancs et tables, son visage fendu d’un sourire béat quand une main l’arrêta dans son élan, l’agrippant au bras pour la ramener sur terre.
Je m’effondre.
Vous engagez vous à respecter les commandements? => Sûr! Seul hic, les montages – avatars ou signatures – et moi; c’est deux.. Et on est très loin de s’entendre. |
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| Sujet: Re: Pour avoir un poste vacant | |
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